EmeVia

emevia mutuelle

Rassemblant aujourd’hui quelque onze mutuelles étudiantes dites de « proximité », EmeVia a toujours su respecter son engagement principal : prendre en charge comme elle se doit la santé des étudiants.

La raison d’être de ce réseau est de faire bénéficier les adhérents d’une couverture santé efficiente au cours de leur parcours estudiantin.
Elle ne figure pas dans la liste des mutuelles de France en ligne sur Wikipédia, du fait de sa particularité développée plus en détail ci-dessous…

Historique

 Après la 1re guerre mondiale, les étudiants se trouvent face à de nombreux problèmes matériels. C’est justement pour remédier à cette situation que ce réseau a été créé. Se faisant connaitre à ses débuts par l’acronyme USEM, le réseau s’engageait à entreprendre des réformes décisives afin d’améliorer la santé des étudiants.

Entre la création, à Strasbourg, du 1er centre de médecine préventive en 1929 et l’adoption de la loi touchant la couverture sociale des étudiants en 1948, l’USEM commençait à trouver peu à peu son chemin et s’ouvrait de plus en plus au développement.

En 1971, l’apparition de mutuelles dans chaque région de l’Hexagone a aussi marqué l’histoire de l’USEM. En collaboration avec la MILDT en 2007, il a été décidé la mise en place d’une directive concernant la préparation de soirées étudiantes. Et en 2011, cet organisme a même œuvré pour le maintien du régime de la protection sociale des étudiants en signant un accord important.

Le 8 mars 2012, l’USEM ou Union nationale des Sociétés Etudiantes Mutualistes régionales a fêté ses 40 ans d’existence. C’est également pendant cette occasion que l’USEM a révélé sa nouvelle appellation EmeVia ainsi que sa nouvelle identité visuelle. En somme, l’USEM a adopté son nom actuel en début d’année 2012. Il est connu pour être un vaste réseau rassemblant onze mutuelles étudiantes, dont la MEP, MGEL, SMEBA, SMENO, SMECO, SMEREB, SMERRA, VITTAVI, SEM et SMERAG.

C’est en 2013 que le réseau EmeVia a publié le résultat de sa 8e enquête nationale portant sur la cyberaddiction des étudiants. Il ressort de cette enquête une forte corrélation entre la cyberaddiction et le sommeil. L’enquête révèle que seulement 7,7 % des étudiants s’autocritiquent face à leurs habitudes aux écrans. La critique provenant de l’entourage touche les 28.5 % des étudiants.

Février 2014

Une enquête menée par le réseau des mutuelles étudiantes a fait ressortir que ce sont les étudiantes tentées par le cannabis qui ont eu le plus recours à l’IVG et à la pilule du lendemain. Le président du réseau, Ahmed Hegazy, dénonce face à cette constatation une augmentation des comportements sexuels à risque.

Des chiffres inquiétants :

L’enquête a été menée par le réseau de mutuelles étudiantes entre janvier et avril 2013. Sur 6134 personnes sondées – que les étudiantes consommant de cannabis ont 4 fois recours à la pratique de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) et 2 fois recours à la prise de la pilule du lendemain.

Lorsque les chiffres sont transcrits en pourcentage, les résultats font encore froid dans le dos. En effet, le taux des étudiantes consommatrices de cannabis recourant à la pilule du lendemain grimpe jusqu’à 54 %.

Pour ce qui est de l’IVG, 6 % des consommatrices régulières ou modérées de cannabis optent pour cette pratique en cas de grossesse.

Les chiffres parlent encore d’eux-mêmes chez les étudiants puisque 90,6 % des fumeurs de cannabis se déclarent avoir eu des rapports sexuels. Pourtant, seulement 64 % des personnes incluses dans cette catégorie qui se prononcent pour l’utilisation d’un moyen de contraception.

EmeVia tire la sonnette d’alarme

La situation des étudiants en France en matière de santé est déjà inquiétante, car environ 17,4 % des étudiants préfèrent renoncer à se soigner faute de moyens financiers. Et selon le président du réseau mutuelle étudiant, Ahmed Hegazy, l’augmentation des comportements sexuels à risque lié à la consommation de cannabis ne fera qu’empirer la situation.

Pour lui, le maintien d’un régime spécifique de Sécurité sociale étudiante demeure de ce fait une nécessité. Cela permettra au système d’apporter des réponses correspondant aux besoins spécifiques des étudiants.

Les résultats de cette enquête, réalisée par voie postale, ont servi de motivation à ce réseau à reformuler sa demande auprès des pouvoirs publics afin de diminuer les pratiques sexuelles à risque des étudiants.

Décembre 2014

Pour le réseau mutuelle EmeVia , l’enquête bisannuelle en collaboration avec l’institut CSA sur les étudiants face à leur santé sert de source de données en vue de bien cerner leurs conditions de santé.

La dernière vient d’être entamée tout récemment et sera exploitée pour spécifier et orienter les offres appropriées en faveur de ce groupe. Le public étudiant peut d’ailleurs utiliser un comparateur mutuelle présent sur mutuelle-sante.net pour trouver une complémentaire santé pour compléter les prestations peut-être insuffisantes de leur mutuelle étudiante.

Le cas des étudiants face à leurs conditions de santé :

Mutuelle Emevia le réseau enquête avec l’institut CSA

L’enquête effectuée par l’institut CSA est d’une grande importance car c’est une source d’informations pour la prise en main des étudiants dans le domaine de la santé.

Les premiers résultats de cette enquête avance la conclusion sur le désintérêt de ces étudiants aux soins médicaux. Les causes en sont multiples :

On peut citer d’abord le coût des suivis médicaux, en consultation, ou en traitement ou encore en achat des produits pharmaceutiques.

Les étudiants optent pour d’autres alternatives face aux problèmes d’argent ou de coût consacré aux soins médicaux. Ils apprennent à y trouver eux-mêmes des solutions, de leurs propres initiatives.

On constate aussi la différence entre les hommes et les femmes car malgré la diminution du taux de consultation médicale, principalement en gynécologie, les femmes se montrent plus intéressées aux soins par rapport aux hommes. De plus, les étudiants sont sujets aux problèmes de rejet qui se manifeste d’une manière vraiment inquiétante.

Par ailleurs, bon nombre d’étudiants se croient toujours être en bonne santé et cela constitue un blocage à la consultation et aux suivis médicaux. Par conséquent, ils sont exposés aux risques de difficulté de traitement en cas de maladie.

Le réseau mutuelle EmeVia a consenti d’aller vers l’avant à l’encadrement des étudiants. Selon lui, ces situations sont plus qu’alarmantes et prendre en charge la santé de ce groupe constitue une tâche noble.

Public

De par sa vocation première, le réseau se propose de couvrir les étudiants en France pour leurs frais de santé. Aujourd’hui, elle assure la protection de quelque 850.000 étudiants affiliés au régime de Sécurité sociale étudiante.

Avantages

Le réseau garantit une prise en charge partout en France sur les lieux d’études et de vie étudiante à travers ses 200 agences. L’étudiant peut donc profiter d’une continuité de service où il se trouve, et ce, pendant sa vie d’étudiant.

L’adhérent peut compter sur une prise en charge de qualité d’un organisme doté de plus de 40 ans d’expérience sur la gestion du régime de Sécurité étudiante.

Un remboursement rapide, dans les 48 heures grâce à la carte vitale, quand l’adhérent dépose à temps son dossier en agence.

Le réseau EmeVia promet la simplicité des démarches de santé adaptées à la mobilité en France et à l’étranger de l’étudiant. Cette enquête, réalisée en partenariat avec l’institut CSA, a révélé la situation des étudiants face au sommeil et la cyberaddiction.

Choisir ce réseau revient également à choisir la solidarité avec des fonds d’entraides mutualisés.


Toute l’actualité de EmeVia

Actualités en 2015

Février 2015

emevia

Se préoccuper de la santé des jeunes est une responsabilité très importante. En général, les jeunes étudiants des deux sexes confondus sont actifs au plan sexuel à partir de 17 ans.

Le réseau de mutuelles EmeVia a effectué des enquêtes pour être en mesure de leur assurer des services appropriés. L’enquête était organisée à l’occasion de la Saint Valentin.

Des résultats pour un encadrement plus efficace :

Les résultats sur l’activité sexuelle des étudiants constituent des éléments qu’on peut exploiter en vue de bien les encadrer. Si 90 % recourent à l’utilisation du préservatif lors du premier rapport sexuel, ce pourcentage baisse à 70 % quant à la protection systématique.

Cette baisse tend à se poursuivre surtout pour les hommes car ceux qui sont pour l’utilisation des moyens contraceptifs comme la pilule et le préservatif ne représentent en moyenne qu’un peu plus de 60 % pour la femme et un peu moins de 50 % pour l’homme.

Ces chiffres montrent encore que la femme se soucie plus à la protection par rapport à l’homme.

Promouvoir la prévention :

Les facteurs des maladies sexuellement transmissibles auxquels les jeunes doivent faire face sont le VIH/SIDA et les IST. Néanmoins, c’est toujours avec une proportion moindre qu’ils participent au test.

Les chiffres en disent encore beaucoup là-dessus. Ceux qui ont déjà fait le test de dépistage de VIH/SIDA ne représentent qu’un peu plus du tiers et pour les IST, c’est un peu moins de 20 %. Ce sont les étudiants qui vivent dans les cités universitaires qui sont les moins ouverts à ces tests.

Mutuelle EmeVia trouve que c’est d’une réelle importance l’encadrement de ces étudiants en ce qui concerne la prévention pour que ces derniers soient conscients des impacts négatifs de ces maladies.

Avril 2015

Avoir une mémoire infaillible s’avère toujours indispensable. Néanmoins, il y a des phénomènes ou des circonstances qui l’altèrent. SMENO, un organisme faisant partie intégrante du réseau avance des conseils pour l’entretien de cette mémoire.

En plus de cela, cette mutuelle propose encore des prestations ou des offres de prise en charge et de prévoyance qu’on peut consulter par le biais du comparateur mutuelle présent sur mutuelle-sante.net.

Une hygiène de vie correcte pour avoir une bonne mémoire :

SMENO, un des réseau d’EmeVia propose des conseils pour favoriser la capacité du cerveau à la mémoire. La dépression constitue l’un des facteurs qui attaquent le plus la mémorisation, surtout si elle est d’origine morale. La fatigue physique aussi provoque une mémoire défaillante. Recourir à la pratique des activités sportives aide à être en forme et avoir une bonne mémoire.

De plus, on doit soigner les habitudes alimentaires. C’est important de consommer des aliments qui l’éveillent et la stimulent comme ceux à base de fécule, certains fruits et viandes. Il est encore à signaler que les aliments qui sont des excitants sont à éviter surtout le soir.

Des habitudes à adopter :

Adopter des habitudes de mémorisation est très important comme les techniques qui permettent de se souvenir des faits ou des événements, surtout ceux qui sont difficiles à retenir. La répétition et la copie aident beaucoup à mémoriser surtout pour le cas des apprenants car pour cela, on recourt en grande partie au visuel et à l’enregistrement par écrit.

Par ailleurs, on devrait trier ou classer les informations à garder ou supprimer selon leur degré ou leur importance. De plus, les jeux sur internet sont très efficaces car constituent des activités intellectuelles qui aident à entretenir la mémoire.

Ce qu’il ne faut pas non plus oublier, c’est l’exercice journalier de mémorisation des mots, des numéros ou des dates.

Juin 2015

Actuellement, la mutualité est encouragée à suivre les conditions de fonctionnement qui consistent à réduire les dépenses de santé et le coût de gestion. EmeVia est consciente de cette nouvelle manière de travailler et décide de l’appliquer. Les actions d’encadrement de cette Mutuelle sont de plus accessibles aux outils en ligne comme le comparateur mutuelle

Une réduction du coût de gestion à réaliser :

Le contexte économique actuel a incité l’Etat et ses partenaires sociaux à adopter la réduction du coût de gestion et en même temps les dépenses en santé. Le réseau de mutuelles avec ses élus étudiants mutualistes ont suivi à la lettre les recommandations sur cette voie et- compte l’appliquer avec une réduction de 8 euros par étudiant.

Cela est à réaliser jusqu’en 2017. Un des critères qui l’ont permis est la qualité et le savoir-faire en la gestion des responsables d’EmeVia.

C’est le même cas en ce qui concerne les membres de son réseau.

Servir avec une qualité croissante :

Face à la baisse des dépenses de santé et du coût de gestion, cette entreprise mutuelle a lancé le défi de non seulement maintenir la qualité de service aux normes mais encore la renforcer pour un encadrement efficace et en faveur de ses adhérents. Pour cet effet, les opérateurs membres du réseau ont à avancer et à respecter des indicateurs de qualité qu’ils devraient fournir tous les quatre mois.

Parmi ces indicateurs, l’on peut noter les appels téléphoniques reçus surtout ceux qui mettent en contact les intéressés aux conseillers. En plus, on prend en considération le taux de remboursement et le délai des transactions pour le faire. Enfin, le nombre de souscripteurs sert encore d’indice du bon fonctionnement.

Avec une forte implication des étudiants dans la gestion de cette Mutuelle, leur confiance est prouvée par l’adhésion de 100.000 souscripteurs en trois ans.

Juillet 2015

En collaboration avec l’organisme de sondage CSA, la mutuelle Eme Via vient de publier les résultats de l’enquête concernant le cas des étudiants et leur dépendance en alcool, en tabac et en drogue. Ce sondage est pour sa 9ème édition.

Il est encore à signaler que les actions menées par cette Mutuelle en encadrement sont accessibles sur leur site internet

Une situation de plus en plus alarmante :

Comme ce réseau de mutuelles se spécialise en prise en charge et en encadrement des étudiants, elle a continué pour sa 9ème édition de faire du sondage auprès d’eux et concernant leur dépendance en consommation d’alcool, du tabac et de drogue. C’est l’Institut CSA qui a assuré cette enquête à partir de 44269 étudiants. Ils ont eu à répondre au questionnaire, soit par internet, soit par voie postale. Ces étudiants étaient regroupés par leur affiliation ou non à un organisme de prise en charge ou de prévoyance comme la Sécurité Sociale et une Mutuelle complémentaire. L’enquête était anonyme.

Quant aux résultats, pour les trois formes de dépendance, en alcoolisme 84,7% ont déclaré avoir des rapports sexuels et presque la moitié consacre du temps sur les réseaux sociaux. En plus de la consommation d’alcool et du tabac, ils sont encore habitués à la drogue comme le cannabis, l’ecstasy/MDMA et les poppers. La plupart consomme au moins deux sortes de ces drogues.

Des conséquences assez sérieuses :

Il est encore à dire que les étudiants dans la dépendance sont issus en général des familles aux conditions de vie meilleures. Malgré cela, le fait d’être dépendants des hallucinants leur causent des effets négatifs. Ils souffrent d’insomnie et ont du mal à gérer leur stress. Ils constatent plus de fatigue au réveil.

Par ailleurs, en plus des déséquilibres au niveau mental, les problèmes financiers qu’ils subissent sont fréquemment des découverts bancaires.